1) A propos de l'Installlation secrète
Je dois donc maintenant vous parler de la cérémonie d'installation secrète. Cérémonie d'installation secrète dont je ne peux rien vous dire parce que justement... elle est secrète.
Cela pourrait donc être très court, mais nous allons essayer d'aborder quelques éléments permettant de mieux pouvoir approcher et situer cette céréonie dans l'ensemble du corpus maçonnique que nous développons.
Alors justement, que peut-on dire cette cérémonie ?
Et bien, sans dévoiler quoi que ce soit, nous pouvons dire que cette cérémonie comporte:
1/ une légende propre
2/ un serment particulier
3/ un mot particulier
4/ un signe particulier
5/ et un attouchement particulier.
A part ça, ce n'est pas un grade !
En fait, cette cérémonie possède toute les composantes d'un grade. Mais n'est pas un grade, car, comme vous le savez, la maçonnerie est composée de 3 grades et 3 grades seulement, y compris l'Arc Royal ! C'est en effet, avec cette formule magique que l'on est arrivé à mettre d'accord les Anciens et les Modernes lors de l'Union de 1813. On allait pas non plus en rajouter...
Alors d'où nous vient cette cérémonie, et quelles en sont les sources ?
Dès les Constitutions de 1723, quelques éléments nous permettent de savoir qu'il existait à cette date une cérémonie d'installation.
Page 71 de ces Constitutions de 1723,, se trouve un postscriptum intitulé: "Manière de constituer une nouvelle loge ainsi qu'elle est pratiqué par sa Grace le Duc de Warthon, le très vénérable Grand Maitre actuel, conformément aux anciens usages des maçons"
Dans ce postscriptum, une phrase se distingue comme réellement intéressante :
« Le Grand Maitre interrogera le candidat à la chaire de la façon suivante : Vous soumettez vous à ces obligation ainsi que les maitres de loge l'on fait de tout temps ? Quand le Candidat aura donné la certitude de sa cordiale soumission à ces devoirs, le Grand Maitre l'installera suivant certaine cérémonie significative et d'ancien usage »
En fait, tout ceci ne nous apprend pas grand-chose, si ce n'est qu'il existe effectivement dès le tout début du XVIIIème siècle des usages d'installations. C'est tout ce que nous pourrons réellement apprendre avec certitude de ce post-scriptum
Il faudra attendre les années 1740/50 et la création de la « Grande Loge des Antients » pour entendre à nouveau parler d'une cérémonie d'installation secrète.
Je vais très rapidement résumer cet épisode car nous n'avons pas le temps de rentrer dans les détails. Comme vous le savez en 1717, 4 loges se réunissent, forment une Grande Loge.
Cette Grande Loge va connaître un succès certain. Mais cela ne veut pas dire qu'il n'y ait pas eu, à côté de cette Grande Loge, d'autres loges « non affiliées » qui continuaient à exister et d'autres encore qui continuaient à se former ...
En tous les cas, ce que l'on sait, c'est que petit à petit, on va de plus en plus entendre parler de ces loges. Notons que dans ces loges se trouvent beaucoup d'écossais et d'irlandais, et que ceux-ci possédaient aussi leurs propres traditions.
A moment donné ces loges vont décider, elles aussi, de se constituer en Grande Loge. Elles choisiront de se faire appeler la « Grande Loge des Antients »- 1 - , parce qu'à cette époque-là, ce qui était important c'était d'être ancien, et surtout pas moderne. Par moquerie, elles vont appeler la Grande Loge de Londres et de Westminster, déjà existante, la « Grande Loge des Modernes » !
Dans les différents reproches et récriminations que ces «Antients » ont envers la Grande Loge des Modernes, il faut citer l'Arc Royal, bien sûr, mais aussi le fait que elle ne pratiquait plus la cérémonie d'installation secrète.
« Avoir laissé tomber en désuétude la cérémonie ésotérique de l'installation du maitre, quoique quelques une de leurs loges aient pratiquée de bonnes heures une telle cérémonie et continuent, de leur propre initiative à le faire. »- 2 -
Pour les « Antients », cette cérémonie d'installation secrète est capitale ! Elle est très importante parce qu'elle est en fait, pour eux, l'antichambre de l'Arc Royal et on sait à quel point pour les « Ancients » l'Arc Royal est incontournable ! Lawrence Dermott qui sera la cheville ouvrière de cette « Grande Loge des Antients », pendant de très nombreuses années d'ailleurs, dira lui-même dans Ahiman Rezon (les constitutions de la Grande Loge des Antients ) que « l'Arc Royal est la moëlle de la maçonnerie »- 3 -.
Lorsque ces « Ancients » vont créer leur Grande Loge , ils pratiqueront bien évidemment cette cérémonie. Mais ce qui est aussi intéressant à noter, c'est que par 'capillarité', je dirais, et bien un bon nombre de loges de la Grande Loge dite des « Moderns » vont elles aussi commencer à pratiquer cette installation secrète.
Ce qui fait (je vais très vite mais il nous faut résumer car le temps passe ... ) que lors de l'Union, en 1813, entre ces 2 grandes loges, le problème de l'installation secrète ne sera pas un problème ! C'est à dire que très vite dans la loge de promulgation, on acceptera le principe de pratiquer une installation et une installation secrète.
Voilà en bref, dirons-nous, comment les choses ont pu se passer...
Reste un élément intéressant que je voudrais rapidement aborder ici, il s'agit du mot de cette installation secrète !
Alors, je ne vais pas vous donner ce mot, bien évidement mais...
Là aussi je vais faire devoir faire un petit retour en arrière.
En 1717, au tout départ, nous étions en fait, dans un système qui ne comprenait que 2 grades : celui d'Apprenti Entré et celui d'Homme du Métier ou Maître.
Le terme de 'Maître', à ce moment-là, désignait une qualité. On disait 'Maître', exactement comme on aurait pu dire 'Chef d'entreprise' aujourd'hui.
Cette structuration est issue (et je parle sous le contrôle de notre Frère Patrick, ici présent, qui connait très bien tout cela , puisqu'il est le traducteur choisi par David Stevenson - 4 - ) d'un système qui nous vient de l'Ecosse basé sur un double système Incorporation / Loge qui fait que lorsque l'on était Maître dans l'Incorporation, on le restait dans la Loge.
On a donc 2 grades. A moment donné, le grade d'apprenti va tout doucement se scinder en 2 pour donner un grade d'apprenti et un autre de compagnon.
D'ailleurs c'est à ce moment que le « J » et le « B » qui à l'origine formaient ensemble le Mot du Maçon vont se retrouver séparés. L'interversion que l'on connait encore aujourd'hui de ces deux mots selon le rite prend ici ses sources.
Notre frère René Guilly a excellemment expliqué tout cela dans l'un de ses ouvrages sur les colonnes, que je vous convie à lire dans le détail. - 5 -
Le grade de Maître, lui, va se trouver doté d'une légende et pour ce qui nous occupe, nous allons assister pendant un certain temps une sorte de concurrence entre deux mots différents pour ce grade. Un mot en « MB », qui a fini par gagner, et un mot en « G », que d'ailleurs un certain nombre de loges françaises possèdent toujours avec certaines modifications parfois mais avec la même racine. Ce mot « G » s'est en fait recyclé dans la cérémonie d'installation secrète.
Il est assez étonnant de voir que grâce à ce recyclage (ce n'est pas le seul il y en a beaucoup d'autres en maçonnerie) ce mot en » G » est resté au niveau du 3ème grade dans certains corpus maçonniques et est monté jusqu'à l'installation secrète dans d'autres.
Alors, je ne rentrerais pas dans le détail de ce qu'a pu être l'installation secrète en France. Si l'on fait des études assez poussées, des éléments fragmentaires ici et là plaidant pour l'existence de formes d'installation (Il n'est pas de notre objet de les traiter ici). Il y a de plus eu, de manière claire, aux alentours des années 1760, une installation secrète qui s'est passé en France sous la forme d'une cérémonie appelée "Vénérable Maitre de toutes les Loges, ou Maitre ad vitam" et qui s'est, elle aussi recyclée, puisqu'elle constitue aujourd'hui l'argument du 20ème grade du REAA (Le REAA a recyclée beaucoup de matériel dans ses Hauts Grades).
Quand on lit ce 20ème degré (puisque au REAA on dit degré) il est bien dit qu'il s'agit d'une cérémonie d'installation qui n'étant plus pratiquée en France se retrouve là et a voulu être perpétuée. Il faut savoir aussi qu'en France, la position du Vénérable Maître est assez différente de celle de l'Angleterre dans la mesure où, en France, la fonction de Vénérable Maitre est une fonction ad vitam. Lorsque l'on accède à la dignité de Vénérable Maitre et on le reste toute sa vie, on peut garder une loge toute sa vie si c'est nécessaire.
Bref, en France, l'installation secrète n'a pas fleuri...
L'installation secrète refera son apparition en France de manière tout a fait anecdotique. Ce sera en 1901, avec la création de la première loge Emulation en France: l'Anglo-Saxon Lodge, au sein de la Grande Loge de France (elle existe toujours). Et forcément cette loge pratiquait l'installation secrète. Il faut bien voir que l'installation secrète telle que nous la connaissons est une tradition totalement anglaise, de type Emulation.
Alors, quand en 1913 s'est créé la Grande Loge Nationale Indépendante et Régulière pour la France et les Colonies (qui deviendra la GLNF), un certain nombre de loges Emulation ont commencé à voir le jour, et cette cérémonie d'installation secrète a donc commencé à se répandre en France.
Au début, alors qu'il n'y avait que quelques Loges, cette installation secrète, celle-ci passait inaperçue. Mais à un certain moment, un problème a commencé à se poser.
Lequel ?
Un Vénérable du Rite Français ou du REAA, par exemple, qui venait visiter une loge Emulation d'installation devait sortir à un certain moment de la cérémonie parce qu'il n'avait pas reçu l'installation secrète. Voilà ce qui effectivement pouvait causer un certain problème !
Dans certaines obédiences telles que la GLNF Opéra par exemple, (aujourd'hui la GLTSO), se sont créés des loges spécifiques de maitres installés dans lesquelles le grade était délivré aux frères qui avaient été reçu vénérables dans d'autres rites. .
La Grande Loge Nationale Française, elle, a choisi, non pas créer une loge de maitre installé, mais de donner ce grade de maitre installé à tous les Vénérables dans tous les rites. Ceci, en établissant une cérémonie d'installation secrète commune à tous les rites.
Cette installation secrète s'est aujourd'hui propagée dans de nombreuses obédiences et de nombreux rites. Avec bonheur parfois. Parfois moins...
Mais j'arrive à la fin du temps qui m'était imparti.
J'ai essayé de vous dire ce que je pouvais vous dire sur cette cérémonie secrète. J'ai essayé d'être le plus concis possible. Je vous renverrais sur le site rudyard-kipling.fr pour vous diriger vers quelque documentation pour pouvoir aller plus loin sur ce sujet. Je veux à nouveau saluer ici mon Maître René Guilly qui faisait paraître dès 1961, dans une revue qui s'appelle "le symbolisme", dans le numéro 353, un travail déjà totalement complet sur cette cérémonie d'installation secrète alors qu'à l'époque, quasiment personne ne savait même de quoi il s'agissait.- 6 -
Conférence donnée à la Rudyard Kilpling lodge le 09 janvier 2012 par le F. Philippe R.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
1 - The Grand Lodge of the Most Ancient and Honourable Fraternity of Free and Accepted Masons (according to the Old Constitutions granted by His Royal Highness Prince Edwin, at York, Anno Domini nine hundred and twenty six, and in the year of Masonry four thousand nine hundred and twenty six)
2 - Bernard. E. Jones. « Freemason's Guide and Compendium»(Londres, Harrap, nouv. éd. 1956)
3 - Laurence Dermott – Ahiman Rezon « cette partie de la maçonnerie communément appelée Arche Royale (qui est, je le crois fermement, la s, le coeur et la moelle de la franc-maçonnerie) »that Part of Masonry commonly called the Royal Arch (which I firmly believe to be the Root, Heart, and Marrow of Free-Masonry)
4 - Les premiers francs-maçons , Les loges écossaises originelles et leurs membres David Stevenson (Auteur), Patrick Sautrot (Traduction). Editions Ivoire-clair. 2000
5 - Les deux grandes colonnes de la franc-maconnerie. René Desaguliers (Auteur) Dervy 1997
6 - Notes sur la cérémonie ésotérique d'installation des Maîtres de Loges par René GUILLY. Revue «LE SYMBOLISME» numéro 353, année 1961
Bibliographie complémentaire:
- The Freemason At Work. Harry Carr. 1976. Lewis Masonic.
- A commentary on the Freemasonic Ritual. Dr E. H Cartwright, 1947. Fenrose Ldt.
- The Degrees of Pure and Ancient Freemasonry. Robert Freke Gould. Ars Quatuor Coronatorum. Volume16. 1903
- The Origin of the ‘Ancients’. H. Saddler Ars Quatuor Coronatorum. Volume 85. 1972
- The Development of Installation at Bristol. E. Ward. Ars Quatuor Coronatorum. Volume 71. 1958
- The Installation Ceremony N. B. Spencer. Ars Quatuor Coronatorum. Volume 72. 1959
- The Evolution of the Installation Ceremony and Ritual. Harry Carr. Ars Quatuor Coronatorum. Volume 89. 1976
- The Ceremony of Installation. H. C. Booth. Ars Quatuor Coronatorum. Volume 89. 1976
2) A propos de l'Installlation
Nous venons de vivre l’installation de notre nouveau Vénérable Maitre C’est un grand moment pour lui qui est désormais pour un an Vénérable Maitre de notre Loge, mais c’est surtout un grand moment pour nous , membres de cette respectable Loge . Je vous propose ce soir de revivre ces moments avec quelques éclaircissements sur cette cérémonie.
Je n’aborderai que l’installation régulière, la partie secrète ne m’étant pas accessible, ce sera notre nouveau vénérable qui s’en chargera.
Tout d’abord précisons que le titre de Vénérable Maître n’est pas considéré comme un grade mais plutôt comme une prolongation du grade de maître, et il en fait partie, tout en en étant distinct.
En effet une fois installé on devient Passé maitre Immédiat et non Vénérable Maitre Immédiat.
Mais venons en tout de suite à notre sujet :
Tout d’abord comment devient-on V.M.et ses obligations ?
Ce n’est pas du protocole bien connu dont je voudrais parler ici, mais des qualités souhaitées pour occuper cette charge si importante.
Nous trouvons dans « Le travail Emulation Expliqué - 1 -» et concernant le Vénérable Maitre, une phrase pleine de sagesse et de promesse :
Le Franc-Maçon qui a reçu de ses Frères le plus grand honneur qu’ils puissent conférer en l’élisant à la chaire du Roi Salomon se trouve placé à l’est où l’on place traditionnellement l’Enseignement et la Sagesse.
Choix hautement symbolique. On peut donc espérer qu’il aura acquis connaissance et sagesse au cours de ses passages dans les postes d’officiers subalterne. De nombreuses responsabilité sont attachées à la chaire du Roi Salomon, le Maitre Installateur les rappellera mais retenons cet impressionnant message qui lui a été fait :
« L’honneur la réputation et l’utilité de cette loge dépendront en grande partie de l’adresse et de l’assiduité avec lesquelles vous dirigerez ses affaires tandis que le bonheur de ses membres augmentera en proportion du zèle et de l’habilité avec lesquels vous propagerez les véritables principes de l’Institution. »
C’est énorme ! dirait Lucchini...
Mais revenons à notre cérémonie.
Qui peut pratiquer cette cérémonie ?
Elle est dirigée traditionnellement par le Vénérable Maitre sortant devenant pour la circonstance le Maitre Installateur, par un Passé Maitre de la Loge ou exceptionnellement un Passé Maître d’une autre Loge.
Cette fois nous y sommes :
La loge est ouverte au 1er grade, mais très rapidement les apprentis sont invités à se retirer sans saluer.
La loge est ouverte au 2ème grade, et un Passé Maître présente le Maitre Elu au Maitre Installateur.
Le Maitre installateur adresse quelques observations aux Frères puis expose les qualités obligatoires que doit posséder le candidat à la chaire de Maître ; puis le Frère Secrétaire donne lecture des anciens Devoirs et Règlements auxquels le Maître Elu devra souscrire et qu’il acquiescera par le signe de Fid.
Une fois ces Devoirs et Règlements acceptés. Le Maître Elu s’avance vers la chaire en retirant ses gants et est prié de s’agenouiller.
Je ne reviendrai pas sur toute la symbolique du genou qui a été largement expliquée lors d’une précédente tenue mais retenons que ce genou reflète le Siège de la puissance de l'homme. Les Anciens y voyaient le siège principal de la force du corps et de la vitalité. Mettre un genou a terre c’est déposer sa force sur la terre et reconnaitre son insuffisance et se mettre à la merci de celui devant qui on fléchit le genou.
Les Compagnons sont priés de sortir.
Ouverture au 3ème grade les Maitres cette fois-ci sont priés de sortir, comme tous les assistants (même vénérables d'autres rites) qui n'ont pas reçu l'installation secrète.
Nous entrons maintenant dans la cérémonie secrète cette partie ne sera donc pas développée.
Est-ce à ce moment que le tablier aux trois taus apparait ? Quant à leur signification, je ne satisferai pas ce soir votre curiosité, nous aurons sans doute prochainement l’occasion de revenir sur ce sujet.
Ca y est , cette fois nous y sommes. Désormais le Maitre Elu est Vénérable Maitre.
Les Maitres sont conviés à retourner en Loge. Ils entrent sans saluer et se rangent en ligne ; puis conduits par le Maitre Installateur ils font le tour de la loge (...)
Revenus à leur place les Maitres Maçons saluent X fois par le signe « « approprié ». Je ne dévoilerai pas ici ni ailleurs non plus la particularité de ce signe mais soulignons simplement que c’est uniquement dans cette cérémonie que ce signe sera audible...
Les compagnons sont conviés à leur tour. Ils se rangent de la même manière et font le même tour de la loge (...).
Revenus à leur place le Maitre installateur demande aux Compagnons de saluer par X fois ; le signe est à nouveau audible.
Les Apprentis effectuent le même rituel d’entrée. Encore une fois, le signe est audible.
Le Vénérable Maitre reçoit alors la Charte de la Loge et le Règlement Intérieur de la Loge.
Puis le Vénérable Maitre nomme son collège d’officiers et remet à chacun les insignes de son office.
Enfin le Maître des Cérémonies s’adresse au Vénérable Maitre pour lui rappeler les devoirs de sa charge.
Puis le Maître des Cérémonies présente les devoirs aux Surveillants et expliquer aux Frères de la Loge les principes de l’acceptation, la soumission et l’obéissance découlant de cette cérémonie.
La cérémonie se termine et le Vénérable Maitre revêt le Passé Maître de son bijou. Voila nous venons de revivre cette très belle installation, la partie secrète va peut être vous être révélée maintenant !!
Conférence donnée à la Rudyard Kilpling lodge le 09 janvier 2012 par le F. Daniel M.
1- Emulation Working Explained. Herbert F. Inman, 1929